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Les villes à travers les documents anciens

Quimperlé dans le Finistère au 19ème siècle

 

Quimperlé, vue générale vers 1835 - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Quimperlé, vue générale vers 1835,
gravure de Rauch, extraite de Guide pittoresque du voyageur en France - 1838
Collection personnelle

Lire et voir aussi


Texte extrait du Dictionnaire de toutes les communes de France - éd. 1851
Augustin Girault de Saint Fargeau - (collection personnelle).

QUIMPERLE, Kimperlœum, Quimperlayum, petite ville maritime, Finistère (Bretagne), chef-lieu de sous-préfecture (5e arrondissement) et d’un canton. Société d’agriculture. Collège communal. Cure. Gite d’étape. Bureau de poste. Relais de poste. Population 5,261 habitants.
Terrain cristallisé ou primitif.

Fabriques de sabots. Tanneries. Papeteries.
Commerce de grains, légumes secs, bestiaux, cuirs, papiers, etc.
Foires les lundi de la Passion (3 jours), 24 juillet, 10 août, 29 septembre, 28 octobre et jeudi saint.

A 46 km de Quimper, 512 km O.-S.-O. de Paris. Latitude 47° 51' 53", longitude 65° 54' 0" O.

L’arrondissement de Quimperlé est composé de 5 cantons :
Arzano, Bannalec, Pont-Aven, Quimperlé et Scaër.

Autrefois diocèse et recette de Quimper, parlement et intendance de Rennes, sénéchaussée, gouvernement particulier, 3 couvents.

Plusieurs historiens disent que l’endroit occupé par la ville de Quimperlé l’était jadis par un bois druidique, et l’on cite comme un collège de druides l’église souterraine de l’abbaye de Ste-Croix. On parle aussi d’un ancien monastère fondé par un des rois bretons de Cambric, nommé Guithiern, qui avait quitté sa couronne pour se retirer à Quimperlé, où se voit encore son tombeau. Quimperlé se nomma d’abord Avantôt ; en 1029, Alain Caignard et Orscaud, évêque de Cornouailles, rétablirent le couvent de Ste-Croix de l’ordre de St-Benoît, où fut enterré le comte de Montfort en 1345. En 1342, après la levée du siège d’Hennebon par Charles de Blois, Louis d’Espagne entra dans la rivière de Quimperlé suivi d’une flotte considérable ; il débarqua près de six mille hommes qui furent détruits par Gauthier de Mauny. Quimperlé fut pris en 1373 par Olivier de Clisson. Cette cité, qui tenait pour le duc de Mercœur, fut attaquée par les troupes du roi en 1590 ; on en fit sauter les portes ; la ville et l’abbaye furent pillées. Les murailles furent démolies en 1680, et les matériaux servirent à la construction des quais.

Les armes de Quimperlé sont : d’argent semé de mouchetures d'hermines de sable, au coq de gueules membre et crêté d’or,

La ville de Quimperlé est entourée de montagnes élevées ; la partie de St-Michel dominée par une église gothique, par le couvent des ursulines et par le couvent des capucins, couverte de maisons, de jardins et de vergers, offre l’aspect le plus riant. Au pied de la montagne, les deux rivières de l’Isole et de l’Ellé se réunissent et forment un joli port où remontent des bâtiments de cinquante tonneaux, qui pénètrent dans l’intérieur de la ville et déchargent leurs marchandises sur un quai large, très commode, bordé de magasins et de jolies maisons.

Patrie de l’historien dom Morice.


L'église Notre-dame à Quimperlé - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Eglise Notre Dame de Quimperlé,
gravure vers 1840 de Jérôme Jean Potel

Texte et gravure
extraits de l'ouvrage "La Bretagne de Jérôme Jean Potel - édition 1844
- Collection personnelle

Quimperlé, chef-lieu d’arrondissement clans le département du Finistère, est situé au confluent de deux petites rivières, l’Isole et l’Ellé.
S’il est permis, dit un poète breton, de comparer les petites choses aux grandes, l’on peut comparer la situation de Quimperlé à celle de Lyon ; ici, en effet, nous trouvons deux rivières, l’une court avec lenteur au milieu des prairies sur un lit de sable d’argent ; l’autre se précipite nu milieu des rochers : c’est l’Arar tranquille et le Rhône fougueux.
Le même auteur, décrivant les environs de Quimperlé, parle de ses rivages, tour à tour riants, déserts, sauvages, offrant, à ceux qui les parcourent les aspects les plus variés : le bois de l’Abbaye, les hautes terrasses de Quimperlé, d’épais bosquets de noisetiers, la foret et le vieux château de Carnoët, des landes dans lesquelles pointent des roches noires et moussues ; enfin, l’immense Océan.

Notre dessin représente l’église de Notre-Dame, ancienne collégiale fondée par les souverains du pays ; les connaisseurs en admirent la chapelle, bâtie sur les ruines d’une église plus ancienne. Depuis 1765, on en a fait l’église paroissiale de Saint-Michel ; à côté, sont situés les couvents des Capucins et des Ursulines.
Jean, comte de Montfort, compétiteur de Charles de Blois à la couronne ducale de Bretagne, mourut à Quimperlé, en 1345, et fut enterré sous le grand autel des Jacobins. On lisait il y a peu de temps son épitaphe, au-dessus de la Chapelle de Saint-Hyacinthe ; nous croyons devoir la transcrire ici :

« Longa sub Armoricis, blœso civilia signis,
Longa comes Janus ferro Monfortius infert
Ut Brilones quœrat, tanlis ast invida cœptis
Jussit abire prius mors ; nil minus inclytabello
Uxor cum nato rem perfide, ossa que chari hic
Conjugis, ad medium majoris collocat arœ. »

« Longtemps la guerre civile désola l'Armorique; longtemps, le fer à la main, le comte Jean de Montfort fit de vaines tentatives pour soumettre les Bretons. La mort, redoutant le succès de ses armes, l'enleva au milieu de son entreprise ; son épouse, non moins guerrière que lui, acheva avec son fils la conquête de la Bretagne, et déposa sous cet autel les restes d'un époux qui lui était si cher.»

L’idiome bas-breton usité à Quimperlé et dans les environs, diffère peu de celui du reste de la Cornouaille ; il embrasse un rayon de 30 à 40 kilomètres, sans qu’on puisse y saisir la moindre différence. Ainsi Quimperlé, Scaër, Rosporden, Pont-Aven, ont le même idiome, du moins à une nuance imperceptible près.
A Quimper, à Châteaulin, à Carhaix, au Huelgoët, on trouve un peu de différence. Le paysan de ces contrées pèse plus sur les mots et s’exprime plus lentement que celui des pays que nous venons de signaler plus haut.
A Morlaix, à Lannion et dans toute la partie de Tréguier, l’idiome diffère de celui de la Cornouaille, en ce qu’il a plus de douceur et d’harmonie, et qu’il se rapproche plus de celui de Léon, qui est l’idiome celtique par excellence. Dans tout le Léonais, par exemple, à Saint-Thégonec, Landerneau, Brest, le Conquet, Lannilis, Lesneven et Saint-Pol-de-Léon, on parle le breton avec beaucoup de pureté. Le Léonais met une certaine prétention à parler sa langue ; il articule parfaitement les mots et fait sentir les finales ; il aime à abréger, et recourt souvent aux syncopes.
L’idiome de Léon a une grande ressemblance avec le grec. Du reste, Varron et plusieurs autres savants pensent que la langue celtique est une langue-mère, qu’elle a précédé la langue grecque et quelle lui a servi de base ; aussi, nombre de linguistes bretons se sont-ils évertués à prouver que leur langue natale était la plus ancienne. Aujourd’hui, que l’on reconnaît la presque identité qui existe entre le grec et la langue sacrée des Indes, l’on est plus à même qu’autrefois de bien juger la valeur de cette prétention.

 


La rue du château à Quimperlé - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
La rue du Château à Quimperlé et les ruines de l'église Saint-Colomban,
gravure vers 1840 de Jérôme Jean Potel


Texte et gravure
extraits de l'ouvrage "La Bretagne de Jérôme Jean Potel - édition 1844
- Collection personnelle

Depuis que la Bretagne est à la mode, les bords de l'Erdre et de la Sèvre et la petite ville de Clisson, près Nantes, reçoivent de nombreux visiteurs, désireux d’admirer les sites délicieux du pays. Cependant, nous préférons et les bords de la Rance et les environs de Quimperlé.

« Avant la Révolution, dit Cambry dans son ouvrage sur le Finistère, la ville de Quimperlé était une des plus tranquilles, des plus heureuses de la France. Après une vie bruyante, agitée; après de longs voyages en Chine, au Bengale, aux Manilles ; quand les nerfs étaient desséchés par les chaleurs de l’Indostan, de l’Amérique ou de l’Afrique ; que de navigateurs se retiraient à Quimperlé ! Le sang s’y purifiait au milieu des bois, des forêts, des bosquets qui l’entourent ; les chagrins étaient dissipés par une société douce, aimable; un médiocre revenu y faisait vivre dans l’aisance. La chasse, la pêche, la chère la plus délicate et le repos le plus parfait, faisaient passer des jours heureux à l’homme assez sage pour préférer à l’éclat, au mouvement des grandes villes, le calme d’une vie paisible, l’air pur des bois et des rivières, et les plaisirs de la nature. On s’y réfugiait enfin comme en Touraine. C’était un port paisible et sûr à la suite des tempêtes et des naufrages de la jeunesse.»

Aujourd’hui, comme à l’époque à laquelle écrivait Cambry, Quimperlé est l’une des villes les plus intéressantes de la Bretagne. Ses environs, si délicieux déjà, s’embellissent encore des progrès de l’agriculture. De belles fabriques, dans lesquelles on s’occupe de tannerie, d’engrais, de mouture de blé, de scierie, de papeterie, donnent au paysage de l’animation ; et de vieux monuments, qui se rattachent à l’histoire locale, racontent quelques-uns de ses faits les plus importants. C’est sur les bords de l’Ellé que s’arrêtèrent les Francs, lorsqu’ils envahirent la Bretagne, sous prétexte de la soumettre à l’unité catholique, mais en réalité pour la conquérir. Charlemagne campait encore près de cette rivière, quand il y fut salué dans son camp par l’abbé de Landevenec.

L’abbaye de Sainte-Croix fut fondée en 1029, par Alain Caignard, sur l’emplacement de l’ermitage de Saint-Guithiern, l’un de ces pieux personnages qui défrichèrent et civilisèrent le pays, dans le VIe, le VIIe et le VIIIe siècle. Sa chapelle, longtemps respectée, existait encore au XVIIIe siècle.
Nous donnons, dans notre dessin, une vue de la rue du Château :
« Elle est, dit Cambry, large, grande, bien percée ; ses principaux édifices sont la prison, le tribunal, l’église de Saint-Colomban (dont il ne reste plus que les ruines), un des portails de l’abbaye qui la termine à l’orient ; une partie des maisons qui la forment sont grandes, belles, bien bâties; beaucoup d’entre elles sont un mélange de bois, de mortier et de pierres brisées, à la manière antique : elles nuisent à la régularité qu’on désire dans une si belle rue, mais elles détruisent une uniformité toujours ennuyeuse. On ne connaît l’agrément de ces habitations qu’en y pénétrant : toutes donnent sur la rivière, d’un côté sur l’Ellé, de l’autre sur l’isole. — De jolis jardins fermés de murs et soutenus par des terrasses, les collines qui bornent la vue du Combout, les rochers, les landes sauvages qui les surmontent, les hautes prairies du Cosquer, des eaux, des bois et des landes dorées, décorés de quelques villages, sont les différents points que diverses positions vous présentent. On peut se reposer au frais dans des tonnelles de laurier, de filaria, de jasmin ; prendre des bains d’une eau limpide et pure ; jouir des plaisirs de la pêche, et, sans sortir de son jardin et de sa basse-cour, garnir sa table de saumons, de limites, d’excellentes lamproies, de belles anguilles, de colverts; de toute espèce de volailles ; de fleurs, de fruits et de légumes.»

Depuis que les moines du couvent de Sainte-Croix ont quitté Quimperlé, leur église remplace, comme paroisse, celle de Saint-Colomban qui a été détruite.
L’église de Sainte-Croix, qui rappelle beaucoup, sous certains rapports, l’ancienne cathédrale de Nantes (celle dont il ne reste plus aujourd’hui que le chœur et quelques vestiges des transepts), possède, sous l’abside, une chapelle souterraine, dans laquelle on voit deux tombeaux gothiques, dont les statues sont fort mutilées. La partie supérieure de l’église, restaurée depuis sa construction en dehors de son style primitif, formait, comme l’ancienne cathédrale de Nantes, une croix bien différente de celles qui ont servi depuis au tracé de nos cathédrales gothiques. Le chœur, tout à fait circulaire, appuyé sur quatre massifs de piliers, se trouvait entouré, par les bas côtés et des prolongements en sens divers : à l’orient l’abside plus élevée que le chœur, à l’occident une sorte de bras de croix terminé carrément comme au nord, au sud une chapelle semi-circulaire. Les ornements des colonnes sont sculptés comme dans l’enfance de l’art ; rien ne ressort, tout a été taillé dans une pierre primitivement aplanie. De nombreuses réparations ont sans doute, à diverses reprises, modifié celle église, dans laquelle, comme à Nantes, les différences considérables de niveau des diverses parties ne permettaient qu’à très-peu de fidèles de participer, par la vue, à la célébration du saint mystère.
Alain Caignard avait été inhumé dans l’église de Sainte-Croix, mais sa statue fut brisée pendant la Révolution.

L’église des Jacobins, ou Dominicains, se recommande par un portail sur lequel on voit encore quelques jolis détails. Leur abbaye avait été fondée, en 1255, par Blanche de Champagne, et possédait les restes du comte de Montfort.
Nous aimons à rappeler, en terminant cet article, que Louis d’Espagne, débarqué à Quimperlé, en 1342, avec 6000 hommes de troupes, y fut vaincu par des Bretons commandés par Gautier du Mauny, Amaury de Clisson, Yves de Kerriguidi, Landreman de Cadoudal, qui n’avaient cependant que 3000 hommes sous leurs ordres. Leur victoire fut complète, et les vaisseaux ennemis restèrent en leur pouvoir.
Pendant les guerres de la Ligue, Quimperlé, que François Duchatel commandait au nom du duc de Mercœur, fut enlevé de vive force par les troupes du roi, qui, ayant fait sauter les portes avec des pétards, pillèrent la ville et même l’abbaye de Sainte-Croix qui avait été fortifiée.

 


La partie St Michel de Quimperlé - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Le haut de la ville de Quimperlé,
gravure vers 1840 de Jérôme Jean Potel

Texte et gravure
extraits de l'ouvrage "La Bretagne de Jérôme Jean Potel - édition 1844
- Collection personnelle

De quelque côté que vous entriez à Quimperlé, vous voyez se dérouler devant vous un paysage charmant. La haute ville surtout présente un tableau des plus variés. Les maisons, groupées en étages les unes sur les autres, à une hauteur de cent mètres au moins, sont surmontées de jardins et de terrasses qui forment un horizon à souhait pour le plaisir des yeux.
Quimperlé, par sa position, est une des clefs du Finistère. L’endroit occupé maintenant par la ville l’était autrefois par un bois druidique. On cite comme un collège de druides l’église souterraine de l’abbaye de Sainte-Croix.

Quimperlé est dans un fond entouré de montagnes élevées. La partie de Saint-Michel, dominée par une église gothique, par le couvent des Ursulines, par celui des Capucins, couverte de maisons, de jardins, de vergers, est de l’aspect le plus riant et le plus riche ; c’est un mélange heureux d’architecture, d’arbres, de cerisiers, et de pommiers fleuris, de peupliers balancés par les vents et de clochers se détachant sous la voûte azurée du ciel. Au pied de cette montagne coulent les deux rivières qui se mêlent ; au bout du quai, on a planté deux allées d’arbres qui conduisent au bois de l'abbaye. Les rochers placés sur la droite sont massifs et bien colorés. Le jardin en terrasse des Jacobins, aujourd’hui Dames de la Retraite, les eaux, les collines de Penerven, quelques prairies, un promontoire orné d’arbres et de verdure et quelques bâtiments à l’ancre embellissent ce paysage. On ferait cent tableaux de sites de toute nature qui environnent Quimperlé. Est-il rien de sauvage comme les monts dépouillés de Gorets ? Vous êtes à cent lieues de l’habitation des hommes ; quelques oiseaux planant au haut des airs, la génisse immobile au sommet d’un rocher suspendu, sont les seuls objets qui vous rappellent à des idées d’existence et de vie. Tout paraît mort autour de vous.
Placez-vous sur la terrasse élevée de Queblin ; la rivière serpente au milieu des prairies, de noisetiers, de joncs, et d’arbrisseaux ; quelques bâtiments à la voile, des taillis, la forêt, la ville, au milieu de grands arbres, vous offrent un aspect noble et grave.
Arrêtez-vous sur le petit pont du Gorecaire ; regardez cette jolie cascade, ces peupliers, ces caprices de la nature sur un fond de landes sauvages ! Du côté de l’Ellé, ces jardins, ces restes d’un beau château, cette prairie couverte de pommiers, les branchages légers d’un bois de châtaigniers, le coteau de Louvignon coupé de jardins en terrasses, de colombiers et de hameaux, offrent un spectacle enchanteur au printemps, agréable en toute saison.

On aime à s’égarer dans les grands bois de l’abbaye, à parcourir le long sentier coupé d’accidents, qui conduit à Saint-Maurice, en suivant le contour du Laïta (nom que prennent l’EIlé et l’isole, après leur réunion.) On aime à s’enfoncer dans les retraites de Rosgrand, et se cacher dans le joli bois du rossignol, à Keransquer : tels sont les agréments d’un pays qu’on peut appeler, à juste titre, l'Italie de la Bretagne.

 

Page de garde de La Bretagne de JJ Potel - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
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